Diapason
Le timbre clair de Marthe Davost convient bien aux parties mélismatiques comme au chant plus syllabique des partitions ( Première Lamentation du troisième jour , entre autres), et sait s'assombrir non sans subtilité dans le registre grave. Ainsi dramatise-t-elle le début de la Deuxième Lamentation du troisième jour (« comment l'or s'est-il terni… ») : ce naturel, cette simplicité dans l'éloquence sont d'une beauté à couper le souffle dont bénéficie toute cette Leçon particulièrement longue. Si ces moments de prières sont restitués aussi religieusement, c'est également grâce à une basse appropriée qui soutient ou annonce le chant. Les sonorités de l'orgue, du violoncelle et de la basse de viole forment un accompagnement riche, plein de quiétude (Première Lamentation du premier jour) ou plus volontaire (Troisième Lamentation du premier jour).

Novembre 2024 par Adrien Cauchie
Diapason
Olyrix
Mélisande, justement, dont le rôle est habité par Marthe Davost déploie une voix riche d’une brillance pareille à cette chevelure qui cause tant de trouble, avec là aussi une prosodie soignée et un jeu de scène engagé, permettant à chaque mot de faire sens et à chaque sentiment d’être servi par le geste éloquent.
LES SOIREES DE PARIS
“Côté interprètes, mention toute spéciale à Marthe Davost (Bastienne) et Maxime Melnik (Bastien) qui font rayonner leur personnage aussi bien vocalement que théâtralement.”

25 janvier 2021 par Françoise Objois
Les soirées de Paris
FORUM OPERA.COM, LE MAGAZINE DU MONDE LYRIQUE
« De cette première journée, on retiendra la bouleversante Elle de Marthe Davost qui a construit tout son récital autour d'extraits de La Voix humaine. »

16 juin 2017 par Laurent Bury
Forum opera.com
« Marthe Davost est une Eurydice délicieusement légère. »

15 décembre 2019 par Christophe Rizoud
Forum opera.com
RESMUSICA
« Bien connu dans le domaine pictural, l’anamorphose varie selon le point de vue de celui qui l’approche. Ce fil conducteur permet l’écoute d’ouvrages du baroque italien peu connus, et surtout de mettre en lumière la fine fleur de la nouvelle génération de voix, de Marthe Davost à Eva Zaïcik, de Benoît Arnould à Marc Mauillon »

5 décembre 2019 par Charlotte Saulneron
resmusica.com